Après le bac, ne sachant ni ce que je voulais faire ni quelle orientation prendre, ma mère décidait pour moi de la profession qui m’a nourrie toute ma vie, et dont, à l’heure actuelle, je bénéficie d’une retraite proportionnelle au salaire alloué au diplôme d’une profession « dévouée » caractérisée d’appoint, « sociale et féminine », plutôt dévaluée et défavorisée…et je suis claire : être infirmière ne fut pas pour moi une « vocation ».
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